Athénaïs de Vendeuvre
@Athenais
"Le communo-traître Jules Demoire, n'a rien à faire au P.S.D. C'est un vakéministe qui s'oppose fondamentalement à tout ce qui fait le progressisme. Je refuse que notre parti devienne un reliquat du P.C. et tous nos adhérents et adhérentes ne doivent pas être dupes et renvoyer dans les poubelles des bureaux de vote, sa candidature à la chefferie, et sans sourciller. Le Parti Socialiste Démocratique aux sociaux-démocrates !"
- Pas moi, jamais
Même si notre cher Jules Demoire a décidé qu'il était urgent pour lui de nous placer durablement dans l'opposition non seulement en nous isolant de toutes les autres formations politiques mais aussi en dynamitant notre mouvement de l'intérieur, ce cousin adoptif (très) éloigné des progressistes n'en demeure pas moins un membre de notre famille politique.
Les socialistes scientifiques ont autant leur place dans un grand parti de gauche que les progressistes et que les sociaux-libéraux, dont je suis. Comme Cheffe du P.S.D., je n'accuserai pas de traîtrise ni ne menacerai d'exclusion un militant de notre parti à seule raison qu'il y ait des divergences de point de vue.
C'est par l'union des progressistes, dans toute la diversité de leurs expériences et des idées qu'ils ont à apporter à notre formation, que nous l'emporterons. Voter pour mon adversaire, c'est voter pour un chef de l'opposition si compétent qu'il sera voué à le rester. Voter pour ma candidature, c'est voter pour mettre notre parti en ordre de marche pour remporter les présidentielles et les législatives et vraiment faire bouger les choses dans notre pays.
- Pas moi, jamais
Même si notre cher Jules Demoire a décidé qu'il était urgent pour lui de nous placer durablement dans l'opposition non seulement en nous isolant de toutes les autres formations politiques mais aussi en dynamitant notre mouvement de l'intérieur, ce cousin adoptif (très) éloigné des progressistes n'en demeure pas moins un membre de notre famille politique.
Les socialistes scientifiques ont autant leur place dans un grand parti de gauche que les progressistes et que les sociaux-libéraux, dont je suis. Comme Cheffe du P.S.D., je n'accuserai pas de traîtrise ni ne menacerai d'exclusion un militant de notre parti à seule raison qu'il y ait des divergences de point de vue.
C'est par l'union des progressistes, dans toute la diversité de leurs expériences et des idées qu'ils ont à apporter à notre formation, que nous l'emporterons. Voter pour mon adversaire, c'est voter pour un chef de l'opposition si compétent qu'il sera voué à le rester. Voter pour ma candidature, c'est voter pour mettre notre parti en ordre de marche pour remporter les présidentielles et les législatives et vraiment faire bouger les choses dans notre pays.